« Cette poésie publique est mon journal intime ». Où Jean Cayrol parle « d’endiguer […] une actualité qui déborde de partout » et qui aveugle « par les spots des faits divers [1] ». Jean Cayrol aurait peut-être aimé proposer par sa « Poésie-Journal » une autre lecture des « problèmes nationaux et internationaux ». Force est de constater que le projet n’a pas atteint son but.
Dimanche 27 septembre 1992.