tel un pantin
. . . Je me dandineMa tête
Oscille
Je danse
virevolte
et tourne
tourne
désarticulé
Le ressort
pousse
encore
lentement
le souvenir
. . .
. . . Tel le
refrain
qui ressort
toujours
du tiroir
glacé
Le marteau
prostré
dans le noir
Tape tape
Les instantanés
sont
à jamais
figés
. . .
. . . Quand
ton regard
devenait glacé
Je savais
qu’une
idée fixe
te
hantait
Quand
ton regard
se vidait
C’était la MORT
qui coulait
dans ces
petits vaisseaux
rouges
le long
de tes yeux
perdus
. . .
(extrait du poème à dire et à crier la Porte du destin
poème publié depuis en Première impression
et ayant fait l’objet d’un enregistrement sonore écoutable en ce moment sur Myspace/alainmarclectures)
mort
-
Je me dandine tel un pantin