. . . Tel le
refrain
qui ressort
toujours
du tiroir
glacé
Le marteau
prostré
dans le noir
Tape tape
Les instantanés
sont
à jamais
figés
. . .
(extrait du poème à dire et à crier la Porte du destin
poème publié depuis en Première impression
et ayant fait l’objet d’un enregistrement sonore écoutable en ce moment sur Myspace/alainmarclectures)